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Du XIVe au XIXe

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Synthèse

Sculpteur français (né à Valenciennes vers 1732, décédé à Paris le 7 août 1816), de parents d’origine espagnole, François Joseph Duret suit l’enseignement d'Antoine Gilis.

Duret devient membre de l'Académie de Valenciennes, en 1888, avec deux œuvres : Diogène cherchant un homme et Démocrite.La Religion accompagnée de quatre figures d'anges. François Joseph Duret.

A Paris, il travaille d’abord pour le comte de Provence.

Il reçoit des commandes pour les églises de Saint-Sulpice (Décorations), de Saint Philippe du Roule (La Religion accompagnée de quatre figures d'anges) et pour le Couvent des dames de Saint Chaumont (La Vierge ; Saint Joseph ; Jésus au tombeau).

Duret participe aux Salons de 1791 à 1812

Il est professeur à l'Académie de Saint-Luc.

Son fils est le sculpteur Francisque-Joseph Duret, Prix de Rome en 1823.

 

Œuvres

Germanicus. 1760.

Décorations du buffet d'orgue. Paris, Eglise de Saint-Sulpice. 1781.

La Vierge. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

Saint Joseph. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

Jésus au tombeau. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

Saint Pierre et saint Paul. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

Saint Augustin. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

Les disciples d'Emmaüs. (A l’origine pour l’église des Dames de Saint Chaumont, à Paris).

La Religion accompagnée de quatre figures d'anges. Fronton. Paris, Eglise de Saint Philippe du Roule. 1784.

Diogène cherchant un homme. 1788.

Démocrite. (Œuvre détruite). 1788

Triomphe de la Liberté. Salon de 1791.

Le repos de l'Hymen. Salon de 1793.

Lysimaque, général de l'armée d'Alexandre, ayant été exposé, par ordre de cet empereur, à la fureur d'un lion, sans armes, et n'ayant que son manteau, se présente victorieux, après avoir étouffé ce lion et lui avoir arraché la langue. Salon de 1793.

J.-J. Rousseau et Franklin. 1799.

Le Temps tenant un bouclier sur lequel est une allégorie. Salon de 1800.

Tète de vieillard. Salon de 1800.

Napoléon 1er. Salon de 1806.

Ovide écrivant son poème sur l'art d'aimer. Salon de 1806.

Napoléon le Grand protégeant la Religion. Salon de 1808.

La France, sous la figure de Minerve, protégeant l'instruction Nationale. Salon de 1806.

Esculape rendant Hippolyte à la vie. Salon de 1806.

Psyché caresse l'Amour sans le connaître. Salon de 1812.

Le général Hatry, sénateur. Château de Versailles (D’après François Duret).

Le peintre Vien, sénateur.

Epaminondas. (Œuvre détruite).